La problématique de l’accès à l’eau au Québec devient de plus en plus flagrante et nous observons un soulèvement populaire de plus en plus fort à cet effet.
Au Québec, cela fait déjà quelques années que plusieurs militent et tentent de faire bouger les choses et je pense notamment à l’APSQ avec leur dernier mémoire sur la problématique de l’accès au plans d’eau publics du Québec.
Nous observons le même constat sur la communauté de Pêche QC avec une multitude de sujets qui voient le jours et prennent rapidement la tête d’affiche (Les descentes de pêche au Québec, la descente de Pointe-aux-trembles, le lac maskinongé pour n’en nommer que quelques uns.
Je suis tombé ce matin sur un texte de Marc Thorpe que j’ai trouvé très intéressant. Le voici:
Ceci n’a aucun rapport avec une partie prise ,mais une simple réflexion don j’ai communiqué avec notre direction politique et les instances de l’industrie.
Svp il n’y a aucun ton politique
”Je communique avec vous tous,puisque,un Fléau,une discrimination s’installe.
Bien au delà de cela un retour vers un passé très sombre est ré-crée par plusieurs municipalités.
Lorsque j’étais jeune durant les années 70 ,grandissant à Châteauguay,don j’ai fréquenté les écoles Louis Philippe Paré,Howard S Billings qui mon tous deux donnés une éducation bilingue.
Belle et bien avant la fréquentation de ses deux instituts éducatives, j’ai fréquenté en début secondaire l’école St Paul. Durant ce moment le Québec battait son plein de devenir un Pays ,Une société distinct.
Vous comprendrez dans mon vécu j’étais mélangé de voir la division qui s’était installé à l’insu d’une simple langue parlé soie le français ou l’anglais.
Le bilinguisme est sans dire le plus belle outils don cette province possède.
Ce qui étais des plus déplorable étais que les parents envoyaient à chaque vendredi leurs propres enfants à se battre dans les écoles pour une raison aussi simpliste qu’une langue.
Il va sans dire que la division s’intaillait et un atmosphère discriminatoire s’est installé qui a pris 2 générations à mettre de coté dans l’intérêt de la croissance économique Québécoise et la survie de la classe moyenne.
En 2015,le Québec doit resserré les coûts des programmes qui sont au delà des moyens qu’elle peut soutenir,il va sans dire que la classe moyenne absorbe les coûts de façon faramineuse et financièrement exhaustive.
Voila qu’une période sombre et discriminatoire s’installe ,cette fois ci alimenté par les Municipalités!
En utilisant un biens public et en mettant le peuple Québécois les uns envers les autres sous le Titrages de “Résident et Non Résident”.
Les municipalités on adoptées et nous devons nous posé la question est ce que ceci est de façon collusionaires mais sans doutes discriminatoires et abusif des frais d’accès à un biens public don mêmes les services publics payés par tous les contribuables doivent défrayé les coûts d’accès,Et Oui ,les agents de la faune ,les techniciens de la faune et les biologistes doivent acquitté les fraies d’accès afin qu’ils puissent servir le public en matières de gestion faunique provincial payé par tous les contribuables!
Dès plus aberrants est que les municipalités promouvoient cette forme de ségrégation/discrimination sous la forme de “résident et non résident” avec des tarifs différentiels don même la charte des droits et liberté du Québec ne permet pas cette forme de tarification discriminatoire.
Le retour à un aire sombre c’est installé ,mais cette fois pas sous la forme de langue, de race ou de religion mais plutôt entre citoyen Québécois sous la forme de Résident et Non résident.
Le Québec se sépare de l’intérieur de lui Meme !
Depuis plus de 20 ans je dévoue une partie de mon temps lors de mon travail à poursuivre,collaboré dans des études avec le MFFP sur de multiple espèces.
Depuis 4 ans maintenant ,commençant notre 5 ième année , la plus grande études sur le maskinongé dans l’histoire de l’Amérique du Nord ,avec quelque 2400 maskinongés marqués,cueillette d’adn ,cueillette de rayon d’épine pelvienne afin de mieux analysé les données pour que le MFFP puisse appliqué une gestion saine pour l’espèce .
Un apercu des coûts de bénévolat pour un non résident ou utilisateur de classe moyenne
Pt Calumet :300$
St Placide :150$
Repentigny : 500$
Contrecœur : 300$
Lavaltrie: 150$
Verchère :300$
Varennes :600$
Pincourt : Interdit
Melocheville : 100$
Pt au Tremble : À venir
Ile Charon : À venir
*Les fraies d’accès dans les Laurentides,Lanaudière et Estrie vont bien au delà du réel de l’abus
Il a un dicton qui dit “tous bon œuvre est punis!”
Dois -je me posé une réflexion à ma contribution futur de bénévolat ou quitté la province ?
Faut croire que la classe moyenne non résidente ne sont plus la bienvenue dans ses municipalités ainsi ils n’aurons tous simplement les moyens de défrayés de tels coûts.
Les conséquences d’une tel privatisation
L’industrie nautique risque de subir des baisses ainsi provocant un potentiel écroulement de celle ci. Un secteur commercialement et industriellement d’importance. Le commerce nautique va bien au delà de l’essence utilisé mais l’activité de plein air et de plaisance ,de pêche,de chasse ,la vente d’embarcation,de produit relié à la plaisance,plein air et d’embarcation,les salons et événements promotionnel qui regroupe l’industrie ,la fabrication mais bien au delà de tous cela l’activité familial que le plein air offre par la voie des accès de nos plans d’eau .
Économiquement , financièrement et de façon Touristique c’est un désastre!
Est ce que les municipalités ont réfléchies sur les retombés économiques qui vont quitté (gaz,dépanneur,restaurant etc)?
La déception de ceci est de voir Notre Gouvernement au Pouvoir permettre les municipalités de crée et propagé cette division et discrimination d’un bien public ainsi propageant la discrimination entre résident et non résident .
Tel que les années 70,maintenant c’est les municipalités qui envoient leur citoyens au front propagé cette discrimination non accueillante d’être “Non Résident”
Une situation des plus avare et sombre dans l’histoire de notre Province
Je vous invite à lire le mémoire de l’APSQ qui a amassé plus de 11 000 afin de déposé une pétition demandant au MMFP et Au Mamrot de saisir le dossier et installé des frais équitables et financièrement atteignables par la classe moyenne.
Au mois de Mars lors de ma rencontre au Bureau du Ministre Moreau, l’ouverture d’esprit et la compréhension de la situation étais partagé et des solutions d’un permis d’accès provincial a été une solution envisagé.
Un permis de 100$ ou 200$ par ans donnant accès à tous les rampes municipales dans la provinces avec certains moyens de réservation dans les régions tel que Lanaudière ,les Laurentides et l’Estrie ainsi permettant un biens un accès favorables à tous les classe d’ouvrier du Quebec.
Le système tarifaires des permis de pêche est déjà en place et les détaillants qui sont des points de vente peuvent offrir un tel service d’acquisition ainsi minimisant les coûts d’un tel programme.
Je vous invite aussi le lire mon analyse financière de MFFP don je souligne que nous gestionnaires doivent aussi acquitté les droits d’accès afin de pouvoir accédé à leur tache de gestion faunique.
Je demande au Ministre Moreau et le Ministre Lessard ,de mettre en place immédiatement un système d’accès provincial et remédié ce comportement discriminatoire et privatisation d’un bien public par les municipalités qui compromet et met en péril un industrie,un secteur commercial ainsi que touristique en péril.
Un peuple demeure un peuple quand un peuple s’unis
Merci
Marc Thorpe ”
Je vous encourage à vous joindre à la conversation sur ce débat de société et à rejoindre les organisations impliqués tel l’APSQ.
Au plaisir,
Je suis fatigué des gouvernements successifs qui n’ont fait qi’imiter les anciens maïtres de cette province de laboureurs.Les Anglais?NON..Je parlais du clergé rampant de ces époques lointaines dont les objectifs,apparemment louables visaient à fixer les Canadiens-Francais,sous prétexte d’évolution démographique.Simpliste en vérité.Et c’est là comme un contrat d’assurance-tranquilité qu’approuvaient les Anglo-Saxons.Yes sir!Mais avec le temps,l’évolution a permis à la province de conquérir une relative auto-détermination à travers des négociations avec les gouvernements fédéraux successifs.Actuellement,la province est aussi bien lotie que les autres.Avec un plus,francophone oblige.Les anglophones ont compris que les temps avaient évolué dans le bon sens et ue bouder ne serait d’aucune utilité.Il n’en reste pas moins que les francophones de la province ont conservé cette méfiance qui les caractérise.Cela va jusqu’à froler la xénophobie.Alors,Québec-mafia de souche?Je n’irai pas jusque là.Toute exagération contient son insignifiance.Enfin,ce que je remarque de nos gouvernants “à baillon dictatorial”,tient dans une forme de mépris,le même qu’ils attribuent aux anglophones de naguère.Durant pls d’un demi siècle,je n’ai jamais rencontré ou connu un “Anglais” sans amabilité.Beaucoup,et le plus souvent bilingues et curieux de mon accent qui m’a servi de sésame(accent francais!)Surprenant peut-être,mais pas tant que cela.